Nous savons que les équidés ont un système digestif fragile. Leur incapacité à vomir accentue ce phénomène. Même si les ânes montrent peu de signes d’inconfort ou de douleur, ils sont sujets aux coliques. Elles sont, avec un taux de 40%, la première cause de décès chez les chevaux. Faire un point sur ce dysfonctionnement nous semble nécessaire.
« BZZ BZZ » et vlan ! Il n'y pas que l'hirondelle qui fait le printemps, il y a aussi les insectes. Nous avons cherché à savoir pourquoi il était important de soulager nos ânes et nos mules de leurs multiples attaques !
Le pronostic des maladies ophtalmologiques est fortement lié à la rapidité de leur prise en charge, aussi la connaissance de ces pathologie permettra une détection précoce si votre âne ou votre mulet est atteint.
Sevrage naturel, sevrage provoqué. Quelques éléments…
Dans tous les cas, le sevrage est une période délicate où l’ânon comme sa mère nécessitent une présence et des attentions accrues.
Le vétérinaire procédera à un examen en cas de boiterie chez votre âne ou de douleur lors de la locomotion. Mais un examen orthopédique peut aussi être réalisé lors d’une visite d’achat en fonction de la discipline de destination
de l’âne. De même un âne qui refuse sans raison évidente son harnachement habituel sera observé attentivement.
Plusieurs fois au cours de sa vie votre âne peut faire l’objet d’examens complémentaires réalisés par le vétérinaire. Il s’agit de tout acte venant en plus de l’examen clinique pour explorer un organe, diagnostiquer une maladie, suivre un traitement. Voici un petit tour d’horizon guidé des différentes possibilités.
Sérum physiologique, solution à base d'eau de bleuet, collyre médicamenteux prescrit... nombreuses sont les raisons pour se pencher sur l’œil de l'âne.
La fourbure peut toucher chaque âne comme chaque poney ou chaque cheval. Cette affection est grave et peut avoir de lourdes conséquences. Elle peut être primaire ou secondaire alors liée à une autre maladie qu’il faudra traiter.
C’est la maladie du pied la plus fréquente chez l’âne. Il faut savoir la reconnaître. Elle peut toucher un seul pied, ou deux ou trois ou les quatre.
Les coliques, voici un vaste sujet souvent au centre des discussions, chacun y allant de son expérience ou de ses suppositions. Elles font peur bien sûr. Alors il faut les connaître et les comprendre pour pouvoir donner toutes les chances de guérison à son animal.
Dans notre numéro 51, l'article "Une ânesse refuse son ânon" relatait l'histoire de l'ânon Titane, rejeté par sa mère et heureusement adopté par l'ânesse Broutille. Bien sûr, la volonté des propriétaires a largement participé à ce succès. Sans réponse précise au comportement brutal de la mère, nous rebondissons sur cette histoire pour faire un point avec notre vétérinaire sur ces attitudes qui ne sont
pas si rares que cela.
La première chose à avoir toujours en tête pour bien aborder les premières années de vie de notre âne est
le fait qu’il est adulte morphologiquement à l’âge de 5 ans seulement. Il a alors terminé sa croissance et sa
consolidation osseuse et articulaire ; les tendons et ligaments sont solides et aptes à travailler réellement.
Dans notre numéro 51, sur la thématique « Tiques
& gratouilles », nous évoquions l'utilisation de la graine de lin chez l'âne comme répulsif aux insectes. Une lectrice nous a fait remarquer que l'usage de cette plante n'était pas si facile, aussi avons-nous décidé d'approfondir la question.
Lorsqu'il fait chaud, plusieurs critères dont la chaleur et la présence d'insectes demandent des soins appropriés avant, pendant et après l'effort. Pour que votre âne et vous-même puissiez profiter au maximum des beaux jours, voici une série de gestes à mettre en oeuvre systématiquement.
Les orties ont une action reminéralisante extraordinaire, tout en éliminant les toxines de l'organisme. L’âne en est friand. Alors quels sont les bienfaits de cette plante que l’âne perçoit tout naturellement ?
L'objectif est de déterminer une méthodologie qui permet
d'analyser, de manière la plus complète possible, le comportement « normal » d'un âne ou d'un mulet, et de déceler d'éventuelles anomalies, maladies ou blessures. Cela sous-entend bien sûr de connaître les maladies liées
à des symptômes connus.
Le numéro précédent abordait une série de plantes dangereuses pour les ânes et les équidés en général (11 plantes ornementales d'extérieur et 4 plantes cultivées), voici maintenant les arbres, les plantes sauvages et les oubliées qui présentent aussi un danger.
Un petit lexique vient compléter ces informations.
Pour l’âne, équidé comme ses cousins poneys et chevaux, savoir identifier les plantes dangereuses reste du domaine de la survie. Principales composantes de leur environnement, ces plantes sont leur source de vie, mais peuvent devenir également l’instrument de leur mort.
La naissance d’un ânon est un moment fantastique et privilégié. La nature fait la plupart du temps bien les choses et l’homme n’a que très rarement à intervenir. Cependant, la naissance reste un moment critique, à la fois pour l’ânon et pour l’ânesse.