Nous savons que les équidés ont un système digestif fragile. Leur incapacité à vomir accentue ce phénomène. Même si les ânes montrent peu de signes d’inconfort ou de douleur, ils sont sujets aux coliques. Elles sont, avec un taux de 40%, la première cause de décès chez les chevaux. Faire un point sur ce dysfonctionnement nous semble nécessaire.
Le printemps va arriver bientôt, et avec lui les bourgeons, les oiseaux, la verdure. C'est le moment de remettre nos ânes et mulets au pré. Tout s'annonce bien ! Quelques précautions et conseils sont cependant utiles
afin que tout se déroule correctement.
Le vétérinaire procédera à un examen en cas de boiterie chez votre âne ou de douleur lors de la locomotion. Mais un examen orthopédique peut aussi être réalisé lors d’une visite d’achat en fonction de la discipline de destination
de l’âne. De même un âne qui refuse sans raison évidente son harnachement habituel sera observé attentivement.
La fourbure peut toucher chaque âne comme chaque poney ou chaque cheval. Cette affection est grave et peut avoir de lourdes conséquences. Elle peut être primaire ou secondaire alors liée à une autre maladie qu’il faudra traiter.
C’est la maladie du pied la plus fréquente chez l’âne. Il faut savoir la reconnaître. Elle peut toucher un seul pied, ou deux ou trois ou les quatre.
L'objectif est de déterminer une méthodologie qui permet
d'analyser, de manière la plus complète possible, le comportement « normal » d'un âne ou d'un mulet, et de déceler d'éventuelles anomalies, maladies ou blessures. Cela sous-entend bien sûr de connaître les maladies liées
à des symptômes connus.
Pour l’âne, équidé comme ses cousins poneys et chevaux, savoir identifier les plantes dangereuses reste du domaine de la survie. Principales composantes de leur environnement, ces plantes sont leur source de vie, mais peuvent devenir également l’instrument de leur mort.